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La technologie de reconnaissance faciale – un guide d’introduction
7 février 2019 (Bruxelles, Belgique) – La technologie de reconnaissance faciale a fait l’objet de nombreuses discussions au cours des deux dernières semaines lors des quatre événements qui ont marqué le début de ma conférence : la réunion annuelle du Forum économique mondial à Davos, en Suisse ; le Forum international sur la cybersécurité à Lille, en France ; LegalTech à New York ; la Conférence Computers, Privacy and Data Protection à Bruxelles, Belgique.
J’ai aussi à l’ordre du jour la Conférence de Munich sur la sécurité, puis le “Big Daddy” … le Mobile World Congress à Barcelone, Espagne.
La vidéo ci-dessus est un petit “explicatif” (avec l’aide de nos amis de Herta Security), et ce sera l’un des trois domaines qui seront au centre de nos préoccupations cette année à la CMM. Nous avons eu du plaisir à faire cette vidéo…. et vous aurez l’occasion de voir le travail incroyable de mon département graphique, et aussi de rencontrer des membres de mon équipe.
Dans la plupart des cas, la reconnaissance faciale est bien intentionnée et vise à faciliter la vie. Toutefois, la nature de cette technologie menace l’anonymat des personnes qui l’utilisent et soulève donc des problèmes de confidentialité des données. L’utilisation de cette technologie, comme la base de données de reconnaissance faciale proposée par la Chine, qui devrait permettre d’identifier n’importe lequel des 1,3 milliard de citoyens du pays en 3 secondes ou moins (voir l’article complet sur notre page de ressources ; le lien est ci-dessous), a soulevé ces préoccupations.
L’un des principaux arguments de vente de la technologie de reconnaissance faciale (du moins du point de vue du vendeur) est qu’elle fonctionne à distance. Il n’est donc plus nécessaire d’avoir un contact direct avec les systèmes de sécurité tels que les scanners d’empreintes digitales.
Comme nous l’expliquons dans la vidéo ci-dessus, les systèmes de reconnaissance faciale fonctionnent en créant une sorte de modèle de visage. Comme vous l’a montré le graphique en mouvement, cela se fait en prenant une image avec une caméra et en mesurant ensuite les distances sur un visage, appelé points nodaux, y compris entre les yeux et la largeur du nez.
Bien qu’il s’agisse à l’origine d’une forme d’application informatique, il a été utilisé plus largement ces derniers temps sur des plates-formes mobiles et dans d’autres formes de technologie, telles que la robotique. Il est généralement utilisé comme contrôle d’accès dans les systèmes de sécurité et peut être comparé à d’autres systèmes biométriques tels que les systèmes de reconnaissance d’empreintes digitales ou d’iris oculaire. Bien que la précision du système de reconnaissance faciale en tant que technologie biométrique soit inférieure à celle de la reconnaissance de l’iris et de la reconnaissance des empreintes digitales, il est largement adopté en raison de son procédé sans contact et non-invasif. Récemment, il est également devenu populaire comme outil commercial d’identification et de marketing. D’autres applications incluent l’interaction homme-machine avancée, la vidéosurveillance, l’indexation automatique des images et les bases de données vidéo, entre autres.
La technologie de reconnaissance faciale est un domaine complexe, alors pour vous aider, mon équipe a créé une page de ressources (pour l’instant, elle est en anglais mais il y aura une version française après la CMM ; le lien sera continuellement mis à jour) à laquelle vous pourrez accéder en cliquant ici.
Et si vous souhaitez faire une interview vidéo à la CMM, nous avons quelques (juste quelques) créneaux horaires ouverts, alors envoyez-nous un courriel à : [email protected]
www.youtube.com/ProjectCounselMedia